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L'éducation des filles au Ghana

27 septembre 2007

Depuis plus de 50 ans, le Séminaire international annuel de l'Entraide universitaire mondiale du Canada (EUMC) offre aux étudiantes et étudiants canadiens leur 1re expérience dans un pays en développement. Un étudiant en maîtrise en éducation a participé l'été dernier à un voyage d'études de six semaines au Ghana et au Burkina Faso en compagnie d'une vingtaine d'étudiantes et d'étudiants de collèges et d'universités de toutes les provinces du Canada. Il souhaite partager son expérience avec le public intéressé par le secteur du développement international. Sa conférence, qui s'intitule Les barrières socioculturelles des filles du Ghana par rapport à l'accès à l'éducation, aura lieu au Carrefour de l'information le 2 octobre à 12 h.

Dovat Batotele Mutimbutimbu sera accompagné de quelques membres de l'association d'étudiants EUMC de l'UdeS et d'une déléguée du personnel de la section d'Ottawa. Son intervention concerne particulièrement le 2objectif du millénaire. En septembre 2000, la communauté internationale avait pris l'engagement de réduire de moitié la pauvreté dans le monde d'ici 2015. Cela fait partie d'un des huit grands objectifs mesurables sur lesquels l'ONU a décidé de travailler. À la lutte contre la pauvreté s'ajoute la lutte contre la faim, la maladie, l'analphabétisme, la dégradation de l'environnement et la discrimination envers les femmes. Ces objectifs du millénaire feront également l'objet de l'engagement du public sherbrookois d'ici le 17 octobre par l'EUMC-UdeS.

Le séminaire international auquel a participé Dovat Batotele Mutimbutimbu a été organisé par Uniterra, une initiative conjointe de l'EUMC et du Centre canadien d'étude et de coopération internationale et soutenu par l'Agence canadienne de développement international. Les participants ont été choisis en fonction de leur dévouement manifeste à l'égard du développement international et de l'engagement du public canadien.